الأحداث الوطنية

La souffrance d’un Belge s’est retrouvée derrière les barreaux après avoir tenté de récupérer son fils kidnappé

ABDERRAHMANE BEND

De nombreux médias belges ont diffusé la nouvelle de l’arrestation de l’ingénieur et expert international en chimie et transport de gaz “Mark Moyerman”, qui a été condamné à huit ans de prison et 230.000,00 Dh en compensation financière après avoir été accusé par son ex marocaine et ses deux fils d’un autre mari de les avoir agressés sexuellement ainsi que son fils mineur de quatre ans, qualifiant la nouvelle de catastrophe.
L’accusé a catégoriquement nié les accusations jeudi dernier lors de sa comparution devant la Cour d’appel de Meknès, l’accusant lui et sa fille de mentir, de mentir et de conspirer contre lui pour un gain financier illégal.
Dans une déclaration intitulée “Cap 24 TV”, la sœur de l’accusé “Nicky Moerman” a affirmé que son frère avait été victime de chantage et conspiré par son ex et sa fille, Après avoir refusé de continuer à satisfaire leurs souhaits et les demandes matérielles qui lui incombaient en particulier, Après avoir essayé d’assurer la vie et l’avenir de son enfant unique au milieu de sa cinquième décennie, Il avait été arrêté au Maroc après avoir tenté de récupérer son fils, qui avait été privé de sa femme, le tuteur légal et condamné à la garde absolue par la justice belge.
Nicky Moerman a cité le jugement rendu contre son frère, qui s’est vu refuser la garde de leur fils de 4 ans par la justice belge, et le mari sans elle a été privilégié par la tutelle et la garde complète, qui n’avait pas été vu devant les tribunaux belges, ainsi que le mandat de perquisition national et européen émis contre le divorce de son plaignant.
la cour d’appel a annulé la décision de l’appelant dans ses rapports avec l’accusé pour trois ans d’emprisonnement en vigueur et 120.000 dirhams en dommages civils, portant la peine et l’indemnisation à huit ans d’emprisonnement en vigueur et 230,000 dirhams en dommages-intérêts civils aux demandeurs de dommages-intérêts civils.